En Hongrie, la fondation « Espérance Vivante », gérée par Jozsef et son épouse Eva Szabo a des liens privilégiés avec Espoir et Vie, par l’ancienneté de nos relations, par la fréquence des convois humanitaires qui lui ont été destinés alors que nous transportions encore de la marchandise, et par les rencontres que nous avons pu organiser soit en Hongrie, soit en France. C’est une réelle amitié qui nous lie. Les fonds que nous transmettons à Jozsef lui sont utiles pour son travail d’accueil à la fondation, de visiteur des prisons, d’aide aux réfugiés, notamment ukrainiens.

En Arménie : nous aidons un père de famille, ne pouvant plus travailler depuis qu’on lui a diagnostiqué une grave maladie. Notre soutien financier lui permet de payer les frais d’hospitalisation et les examens lourds qu’il subit et qui restent à sa charge.

Nous sommes disposés à apporter un soutien financier partout où nous avons connaissance de besoins spécifiques, dans la mesure de nos possibilités et du niveau de notre trésorerie.

Mais aussi pour d’autres projets….

  • Espoir et Vie a une activité d’évangélisation et participe avec d’autres associations à l’édition de 25 000 calendriers environ qui sont distribués en Russie et en Biélorussie. Le conflit Ukraine/Russie n’a pas perturbé l’acheminement de ces calendriers, distribués notamment dans les prisons.
  • Espoir et Vie a toujours cherché, en parallèle avec l’aide d’urgence, à soutenir des projets de développement local permettant de créer de la richesse dans les pays aidés, ainsi qu’à responsabiliser des personnes locales capables de créer un projet et de le faire perdurer.

Nous avons pu élaborer 2 programmes pour aider nos correspondants en Ukraine sur le plan alimentaire :

  • Nous avions reçu un lot important de semences de légumes que nous avons réparties entre 9 correspondants et envoyées en Colissimo par La Poste juste avant le déclenchement de la guerre. Tous ces colis sont bien arrivés.
  • Avec l’aide de Maxime qui était le coordinateur de l’opération, et 3 correspondants principaux, nous avions prévu, avant la guerre, de financer l’achat de 7,5 tonnes de pommes de terre de semences pour l’est de l’Ukraine. Nos correspondants étaient responsables du bon déroulement de l’opération, de la plantation jusqu’à la récolte. Mais, avant même l’achat de ces semences, la guerre a tout arrêté.

Nous envisageons de renouveler ces opérations dès que la conjoncture le permettra.